«En temps de crise, qui sont les mieux placés pour fournir des nouvelles, les agences de presse internationales ou dans les locaux ? Lorsque le tremblement de terre est survenu à Haïti, la catastrophe a été couverte par la plupart des médias populaires comme la BBC et New York Times, qui ont diffusé des nouvelles comme si la catastrophe était un spectacle morbide et qu'il fallait « faire bonne impression devant les caméras ». Où étaient les ONG pendant ce temps? Les ONG à Haïti, qui connaissent parfaitement le terrain et ses habitants, avaient été les plus aptes à rapporter les nouvelles. Mais elles n'ont pas été considérées comme des sources officielles pendant le dernier tremblement de terre en Amérique. Toutefois, si les nouvelles publiées étaient à destination du monde pour tenter de créer une image de solidarité, en revanche, le peuple haïtien est resté dans l'obscurité sans être informés de ce qui se passait dans leur propre pays. Il y a plus d'échanges avec les personnes extérieures au pays en crise qu'avec les locaux.
«Si nous sommes en Haïti depuis X. .." Pourquoi ne pas utiliser les sites de fournir des informations utiles aux personnes concernées? Ou aux Haïtiens vivant à l'étranger? Eux aussi devrait faire partie de leur auditoire. Ou mieux encore, faciliter la communication entre les parties prenantes.
La communication devrait être adaptée en fonction de chaque public et de type d'événement notamment en utilisant le web 2.0. Les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook peuvent servir comme un mode de communication facile. Impossible de communiquer de la même façon pour une entreprise que pour une ONG. Par exemple, Vétérinaires Sans Frontières a utilisé Internet pour faire un rapport sur Haïti. Le rapport a été important, car il s'est diffusé rapidement et assure la couverture du point de vue des locaux. Le rapport n'a pas été créé pour « faire bonne impression devant les caméras », mais le but était d'informer le public de la région et le monde. L'Internet offre des avantages certains, mais parfois, nous communiquons trop vite et manquons des informations essentielles, ce qui limite la communication.
«Mais oui, nous devons modifier le modèle communicationnel, qui divise les gens entre l'objet et le public et les maintient isolés pour servir d'interlocuteur unique.
Et nécessairement, la route commence à abattre le mur entre les services de communication et d'éducation pour le développement et la coopération. "
Le lien original article est (en espagnol) : http://cicomunica.blogspot.com/2010/02/haiti-ong-y-comunicacion.html

La communication devrait être adaptée en fonction de chaque public et de type d'événement notamment en utilisant le web 2.0. Les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook peuvent servir comme un mode de communication facile. Impossible de communiquer de la même façon pour une entreprise que pour une ONG. Par exemple, Vétérinaires Sans Frontières a utilisé Internet pour faire un rapport sur Haïti. Le rapport a été important, car il s'est diffusé rapidement et assure la couverture du point de vue des locaux. Le rapport n'a pas été créé pour « faire bonne impression devant les caméras », mais le but était d'informer le public de la région et le monde. L'Internet offre des avantages certains, mais parfois, nous communiquons trop vite et manquons des informations essentielles, ce qui limite la communication.
«Mais oui, nous devons modifier le modèle communicationnel, qui divise les gens entre l'objet et le public et les maintient isolés pour servir d'interlocuteur unique.
Et nécessairement, la route commence à abattre le mur entre les services de communication et d'éducation pour le développement et la coopération. "
Le lien original article est (en espagnol) : http://cicomunica.blogspot.com/2010/02/haiti-ong-y-comunicacion.html